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Nos familles se sont unies en octobre 1898 par le mariage de Jean Auschitzky avec Jeanne Miquel.

 

 

 

LES MIQUEL  
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MIQUEL ! Pour les Guadeloupéens, c’est… une adresse : à Pointe à Pitre, celle de la caserne de gendarmerie de la MGEN ou autres.

Les Tours Miquel se dressent sur le boulevard Légitimus.

Sur le Morne Miquel fut établi en 1807 le cimetière de la ville. C’est aussi au Morne Miquel que sont installées RFO Guadeloupe (Radio France Outremer)  avant le transfert à Baie-Mahault, et que se trouvent l’antenne du Conseil général et le service des eaux. On est là à la limite entre le nord de Pointe à Pitre et les Abymes : le rond-point Miquel, où était autrefois la caserne des pompiers, rappelle que le centre de cette dernière ville était au Morne Miquel, avant le développement de Pointe à Pitre.

Dans les années 1950/60 encore, quand on avait franchi le pont de la Gabarre, on suivait une route droite construite dans la mangrove qui menait au Morne Miquel, coupé en deux bien avant. On franchissait alors un monticule peu élevé entre les deux versants pour redescendre au rond-point Miquel, seule voie carrossable menant de la  Basse-Terre à la Grande Terre.[1]

Ce nom de Morne Miquel est certainement en rapport avec le docteur Alexis Miquel que nous allons vous présenter, puisqu’on ne trouve aucune famille Miquel antérieure aux Abymes-Pointe à Pitre et que le morne où fut établi le cimetière en 1807 s’appelait alors morne Ozinde.[2]

 

Bernadette et Philippe Rossignol, « Généalogie et Histoire de la Caraïbe », N° 179, mars 2005.

  



[1] - Merci à Sainte-Croix Lacour pour toutes ces précisions !

[2] - Anne Pérotin-Dumon, « La ville aux îles, la ville dans l’île : Basse-Terre et Pointe-à-Pitre, Guadeloupe, 1650-1820 », page 414.