Nos familles se sont alliées en décembre 1964 par le mariage d'Hubert Auschitzky avec Maïten Brusaut.
Emilie II, dite Lili, de Vialar est la grand-mère maternelle de Maïten.
LES
VIALAR
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Parti au I d'azur au portique d'argent ; au II de gueules au sautoir alaisé d'or ; au chef d'or ; brochant sur le parti et chargé d'une guivre rampants de sable, accostée de deux croix pattées de même. |
Résident dans le Tarn depuis 1492. Ils ne bougeront guère de cette province jusqu'à l'aube du XIXe.
C'étaient, au début, des laboureurs, puis des forgerons, des marchands, des conseillers à la Cour des Aydes, etc. Ils s'enrichiront peu à peu. D'où des alliances plus "distinguées", d'où la baronnie.
TOME XXX - Jacques-Augustin, baron de Vialar.
TOME XXXVIII - Augustin II de Vialar, suivi de « Mémoire sur les expropriations départementales »
TOME XXXIX - Augustin IV de Vialar, suivi de « Flavia et Chrysanthèmes ».
dépôts :
· A la Bibliothèque Généalogique (Cotes 4° B 265/H, 4° B 265/V et 4° B 265/AA).
· Aux Archives Départementales du Tarn (Cotes A 3418/12, A 3418/13 et A 3334/14).
· Aux Archives Départementales de la Gironde (Cotes SU 69/19, SU 69/34 et SU 69/41).
· Aux Archives Communales de Gaillac.
· Au Musée de Guérin, Le Cayla.
Les adresses sont indiquées dans le chapitre "Localisation des dépôts".
TOME XXXI - Une Aventurière de Dieu.
TOME XXXII - « Sainte Emilie de Vialar racontée aux enfants ».
TOME XXXIII - La Congrégation des sœurs de Saint Joseph de l’Apparition.
TOME XXXIV - La béatification de Tante Emilie.
TOME XXV - Sa canonisation.
Emilie de Vialar est née à Gaillac, dans le diocèse d’Albi, en 1797. Elle est la petite-fille du baron Portal (tome XXXX), qui suit.
Elle perd sa mère très tôt et dirige la maison de son père (tome XXX) jusqu'à l’âge de trente-cinq ans.
A cette époque, son grand-père lui lègue une somme importante. Elle décide de la consacrer à la fondation d’un institut religieux. Le 25 décembre 1832, elle crée avec trois compagnes la Congrégation des Sœurs de Saint-Joseph de l’Apparition dont le nom veut évoquer le mystère de l’incarnation révélé à Saint Joseph par l’apparition de l’Ange du Seigneur.
En 1834, elle répond à l’appel de son frère, Augustin (tome XXXVI), qui participe à la conquête de l’Algérie et elle emmène ses religieuses exercer leur apostolat en terre musulmane. Expulsée par l’évêque d’Alger, qui ne comprend pas leur volonté de présence comme témoins de la charité chrétienne auprès des malades, aussi bien européens que berbères ou arabes, elle établit la maison-mère de sa congrégation à Marseille.
A sa mort, le 24 août 1856, la congrégation avait quarante-deux maisons établies en Europe, en Afrique et en Asie. Depuis, l’ordre s’est beaucoup développé. A l’aube du troisième millénaire, il compte plus de mille religieuses réparties dans les cinq continents, trente-deux nationalités, cent soixante-huit communautés, trente novices.
Emilie de Vialar a été canonisée par Pie XII le 24 juin 1951.
dépôts :
· A la Bibliothèque Généalogique (cotes 4° B 265/K, 4° B 265/L, 4° B 265/AF, 4° B 265/AH et 4° B 265/AK).
· Aux Archives Départementales du Tarn (Cotes A 3334/14, A 3334/15, A 3334/16, A 3334/17 et A 3334/19).
· Aux Archives Départementales de la Gironde (cotes SU 69/20, SU 69/20b, SU 69/21, SU 69/22 et SU 69/23).
· A l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille.
· Aux Archives Communales de Gaillac.
· Au Musée de Guérin, Le Cayla.
· Aux Archives Diocésaines du Tarn (cote 7 G 1.02).
· A la Maison mère de la Congrégation des Sœurs de Saint Joseph de l’Apparition.
Les adresses sont indiquées dans le chapitre "Localisation des dépôts".
TOME XXXVI - Le Grand baron.
Voici à coup sûr le plus remarquable des colons d’Algérie, le plus entreprenant, le plus généreux, le plus actif qu’il y ait eu.
Son histoire n’est autre que l’histoire de la conquête de l'Algérie.
Ce vaillant précurseur s'établit sur la terre d'Afrique dix-huit mois à peine après la prise d'Alger, pour consacrer sa vie, toute faite de travail, d'énergie, de dévouement, à servir les intérêts de la France et de la colonisation.
Le 12 janvier 1832, il quitte Gaillac (Tarn) pour aller à Marseille rejoindre son ami, le peintre anglais Wyld, et tous deux s'embarquent sur l'Avenir, bâtiment de commerce qui fait voile pour Alger. La traversée fut pénible et mouvementée. L'Avenir, après avoir jeté à la mer une bonne partie de sa cargaison, aborde enfin... Le voyage avait duré douze jours !
Séduit par les charmes de la nature algérienne, originale, ensoleillée, riante, le baron de Vialar a le pressentiment de l'accroissement que prendra Alger et décide, suivant son heureuse expression, d'en faire "sa seconde patrie".
En 1835, il introduira en Algérie les premiers Mahonnais. En 1847, il crée la ville de Fort-de-l’Eau. Le Gouvernement, pour le remercier de son œuvre fonde, en 1887, dans la vallée de la Mitidja, un village qui s’appellera « Vialar », tandis qu’en 1934, un monument à sa mémoire sera élevé dans le centre de Fort-de-l’Eau.
dépôts :
· A la Bibliothèque Généalogique (Cote 4° B 265/J).
· Au Centre des archives d’Outre-mer.
· Aux Archives Départementales du Tarn (Cote A 3418/10).
· Aux Archives Départementales de la Gironde (cote SU 69/14).
· Aux Archives Communales de Gaillac.
· Au Musée de Guérin, Le Cayla.
· A la Maison mère de la Congrégation des Sœurs de Saint Joseph de l’Apparition.
Les adresses sont indiquées dans le chapitre "Localisation des dépôts".
TOME XXXVII - Les Gants jaunes.
La conquête de l’Algérie a passionné, et des milliers d’ouvrages la décrivent par le menu détail. Rien que pour la biographie militaire on comptait, courant 1986, 4 193 titres !
Nous avons voulu, dans cet essai, décrire l’œuvre et l’environnement parfois très hostile d’Augustin de Vialar. Vous entretenir de ses amis, des succès et des échecs des gens qui faisaient autour de lui le même métier.
A notre connaissance, rien de global n’avait été entrepris.
Déjà, le 18 septembre 1912, « La Vigie Algérienne » s’en était émue. Elle écrivait :
« Qui l’écrira ce livre ? Qui dira les luttes et les misères de cette génération de colons de la première heure, leur existence fiévreuse, tourmentée ; sans cesse exposée à quitter la charrue pour le fusil et défendre leur vie et leur propriété, ou bien terrassés par la maladie, tremblants la fièvre sur une dure paillasse jetée en travers du gourbi ouvert à tous les vents.
« Nous aimons toutes les gloires parce qu’elles forment l’auréole de la patrie et, si nous sommes pleins d’admiration pour nos braves soldats morts au champ d’honneur ou qui se sont illustrés dans maints combats, nous ne devons pas oublier ces obscurs mais vaillants colons qui, non sans courage, vinrent en Afrique presque au début de la conquête et consacrèrent à la prospérité de la colonie, souvent leur fortune et toujours leur intelligence et leur énergie. »
Quand notre récit commence, la Monarchie de Juillet ne savait que faire d’Alger ce « legs onéreux de la Restauration ».
dépôts :
· A la Bibliothèque Généalogique (Cote 4° B 265/K).
· Au Centre des archives d’Outre-mer.
· Aux Archives Départementales du Tarn (Cote A 3418/11).
· Aux Archives Départementales de la Gironde (cote SU 69/25).
· Aux Archives Communales de Gaillac.
· Au Musée de Guérin, Le Cayla
· A la Maison mère de la Congrégation des Sœurs de Saint Joseph de l’Apparition.
Les adresses sont indiquées dans le chapitre "Localisation des dépôts".