Nos familles se sont alliées en décembre 1953 par le mariage de Serge Mirieu de Labarre avec Michelle Auschitzky.
LES
MIRIEU de LABARRE
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de MIRIEU ; de MIRIEU
de
NOBLES, ECUYERS, CHEVALIERS, SEIGNEURS
de BIGANOS,
En Guyenne et Gascogne, Armagnac, Bruilhois, Agenois, Condomois, Bordelais, etc.
ARMES : D’azur, à l’épée d’argent, garnie d’or, la pointe en bas ; casque de profil, orné de ses lambrequins d’azur, d’argent et d’or. Tenants : deux nègres armés de leurs arcs et carquois de gueule[1].
Légende : Calamitatum Burdigalæ et Aquitananiæ provinciæ teparator.
La maison de Mirieu de
Le nom de Mirieu de Labarre se trouve, en outre, classé au nombre des familles françaises qui ont prouvé légalement leur noblesse devant le juge d’armes de France, et qui, par ce fait, étaient susceptibles d’être inscrites dans l’Armorial de MM. D’Hozier. (Cab. De l’auteur, Indicateur nobiliaire, P ; 175).
Cette famille était anciennement toute militaire. Tombée en
dérogeance pendant deux degrés successifs, par l’exercice d’arts libéraux
et du commerce, antérieurement à la publication des édits qui permirent
depuis à la noblesse d’occuper des emplois de ce genre sans rien perdre
de sa qualité, la maison de Mirieu de
Ces lettres, si tant est qu’elle en eût besoin, étaient des
plus méritées, comme elles furent des plus honorables. Par leur vaste commerce
et par leur génie, Jean et Isaac de Mirieu de Labarre, son fils (celui-ci
anobli par Louis XVI en 1788) avaient sauvé, à deux reprises,
La maison de Mirieu de
« Le Nobilaire de Guienne et Gascogne », O’GILVY, Paris 1858.
[1] - Les seules armoiries identifiées sont malheureusement incomplètes et ne correspondent que partiellement à la description qui en est faite dans l’ouvrage d’O’Gilvy.