Nos familles se sont alliées en août 1928 par le mariage de Frank Auschitzky avec Madeleine Danglade.
Eugénie Ayguesparsse est la mère de Madeleine.
LES AYGUESPARSSE
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Nos ancêtres sont originaires de Port-Sainte-Marie, dans le Lot-et-Garonne.
Là, depuis toujours, ils s’appellent Ayguesparses. Nous l’avons constaté à la lecture des nombreux actes relevés sur les livres d’église.
Lorsque Jean-Antoine, Jean Baptiste et leur sœur Jeanne se fixent à Libourne, vers 1795, ils deviennent Ayguesparsse. Leur famille restée en Lot-et-Garonne, conserve le premier patronyme. On trouve encore aujourd’hui l’orthographe originelle dans le Cantal, où 39 Ayguesparses ont été recensés entre la fin du XIXe siècle et 1999 à Saint-Martin-Cantales, et 6 autres à Saint-Martin-Valmeroux[1] (d’où une vingtaine sur geneanet) mais pour le moment nous n’avons pas situé notre parenté.
Nous ne nous expliquons pas ce changement de nom.
Tome XVIII – Les voilà !
"Les voilà ! " : c’est par ce cri d’allégresse que notre grand-mère Danglade, du haut de son perron, accueillait, les bras ouverts, enfants et petits-enfants lorsqu’ils venaient lui rendre visite à Rouet.
J’ai imaginé, pour cet ouvrage, que c’était elle qui allait vous conter ses parents.
Une histoire très compliquée car – nous l’avons déjà vu dans les cahiers qui précèdent – nos ancêtres se mariaient assez souvent entre eux, embrouillant comme à plaisir leur arbre généalogique. A part l’asthme que notre aïeule Bloy a généreusement distribué à la quasi totalité de ses descendants, nous n’avons pas localisé les monstres qui auraient pu résulter de ces mariages consanguins. Au contraire, ils ont fait ressortir leurs qualités : les hommes sont intelligents, droits, tenaces et travailleurs. Et les photos jaunies par le temps nous montrent de fort belles femmes. Aujourd’hui, il en est toujours de même.
· A la Bibliothèque municipale de Bordeaux (cote TR.AUS-XVIII).