Les écrits

 

 

 

FAISONS CONNAISSANCE

 

Cet ouvrage n’a pas sa place sur le site. C’est mon press-book. Toutefois, pour que nous fassions un peu mieux connaissance, vous en trouverez ci-après quelques extraits :

 

 

1er janvier 2001

chevalier dans l’Ordre des Arts et des Lettres

au titre des Archives de France

 

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7 septembre 2000

Admis à la Société des Gens de Lettres

 

 

La Société des Gens de Lettres (SGDL) a été fondée en 1838 par Honoré de Balzac, Victor Hugo, Alexandre Dumas et Georges Sand. C’est une association privée reconnue comme établissement d’utilité publique par décret en date du 10 décembre 1891.

Elle est, en France, la seule association d’auteurs gérée par des auteurs dont la vocation est de défendre le droit moral, les intérêts patrimoniaux et le statut juridique et social de tous les auteurs de l’écrit. Elle exerce une action de vigilance, de réflexion et de proposition de lois et avantages nouveaux au bénéfice de la communauté des auteurs. Elle est dirigée par un Comité bénévole de vingt-quatre écrivains et présidée actuellement par le romancier Alain Absire.

Elle propose des bureaux d’aide sociale, d’aide juridique et un service de dépôts des œuvres afin d’en garantir l’antériorité en cas de litige. Elle organise chaque année diver­ses manifestations culturelles et l’attribution d’un certain nombre de prix à des œuvres publiées à compte d’éditeur, pour un montant de 75 000 Euros.

La SGDL occupe le très bel Hôtel de Massa, construction du XVIIIe siècle de style classique qui a eu l’étrange destin d’avoir été déplacé pierre par pierre en 1928, de son emplacement d’origine sur les Champs-Elysées, à son emplacement actuel, au bout du Jardin de l’Observatoire de Paris, rue du Faubourg Saint-Jacques.

"Wikipédia", l’encyclopédie libre.

 

 

 

17 décembre 1998

Lauréat de l’Académie Nationale des Sciences, Belles-lettres et Arts de Bordeaux.

Prix de l’Académie pour l’ensemble de notre œuvre

 

 


 

 

 

6 décembre 1998

Lauréat de l’Académie Nationale de Médecine.

Prix Charles Achard

 


20 novembre 1997

Lauréat de l’Académie des Sciences, Lettres et Arts de Marseille.

Prix Gravier

 

 

 


 

 

 

ELOGE

 

Prononcé le 20 novembre 1997 par le R.P. Pontet

  

De nos jours, beaucoup de familles françaises travaillent à leur généalogie. Ainsi, pour les siens, Monsieur Hubert Auschitzky, de Bordeaux. A l’origine de ce nom à consonance étrangère, l’auteur a découvert que ses aïeux se nommaient Fort et vivaient en notables à Saint-Au­ban-sur-l’Ouvèze, dans les Baronnies.

 

Ces recherches généalogiques font ressortir de l’oubli des réalités surprenantes. Ainsi les Auschitzky se croyaient catholiques depuis toujours. En fait, ils avaient été des protestants convaincus, qui, à la Révocation de l’Édit de Nantes avaient préféré l’exil et s’étaient lancés dans ce que l’auteur appelle « une course folle » à travers le pays de Vaud, la Prusse, la Russie, la Courlande. Ils se retrouvèrent à Bordeaux, avec une nouvelle génération catholi­que. Voilà pour le non connu surprenant. Mais ces mêmes recherches amènent aussi des surprises très heureuses. C’est ainsi que le chercheur découvrit qu’une ancêtre de son épouse était au calendrier des Saints[1]. Sainte Emilie de Vialar étant une des aïeules de son épouse. Et voilà qui touche aussi Marseille. On sait que la Sainte y mourut et fut enterrée dans la Maison-Mère, dans la banlieue de la ville.

 

Sainte Emilie de Vialar a fondé les Sœurs de Saint Joseph de l’Apparition. Il s’agit de l’apparition de l’Ange à Saint-Joseph pour le rassurer sur l’état de son épouse.

 

Dès 1832, la Sainte jeta les premiers fondements de son Institut. Il était tout de charité. Il s’agissait de servir les plus démunis, et aussi d’élever des jeunes filles dans la piété. Com­men­cée à Gaillac, la Congrégation passa en Algérie après la conquête par la France, et de là s’étendit peu à peu dans le monde entier.

 

L’auteur développe avec précision et piété cet admirable travail de « Tante Emilie ». Il ra­conte les étapes du procès de béatification de la Sainte, et nous fait participer avec Pie XI, en 1935, Monseigneur Dubourg étant évêque de Marseille, aux cérémonies romaines. La majesté des fastes religieux envahit alors le récit.

 

Notre Académie décerne chaque année le Prix Gravier qui récompense une œuvre de bien­fai­sance. Grâce à l’auteur qui nous les a mieux fait connaître, elle le donne, en 1997, aux religieuses de Saint Joseph de l’Apparition, et elle accorde une médaille à Monsieur Hubert Auschitzky, parent de Sainte Emilie, pour son livre élaboré, soigné, sincère. Tout ensemble familial et historique. Sa modestie dut-elle en souffrir, l’Académie signale son beau geste : sur sa demande, le chèque qui accompagne le Prix Gravier, sera donné à la Communauté de Mar­seille « qui en aura un meilleur usage[2] ».

 

Et c’est Sœur Agnès, auteur d’une biographie de la Sainte, qui vient de Toulouse pour re­cueillir ce Prix, et que l’Académie salue respectueusement.

 

 

 

décembre 1993

lauréat de Latvijas Centrªlais valsts VÂstures ArhÌvs.

Prix Jªnis Rainis, décerné à RÌga (Lettonie)

 

 

 

Ce prix a couronné nos recherches

sur le duché de Courlande.

 

Mais nous n’avons pas été le retirer car quelques mois plus  tôt nous étions en Lettonie, reçus officiellement à l’occasion du jumelage Riga/Bordeaux

et Lettonie/Région d’Aquitaine.

Jumelages provoqués par nos recherches familiales.

 


 



[1] - Monsieur l’académicien a peut-être été dépassé dans son envolée. Nous le savions depuis toujours !

[2] - Somme aussitôt reversée par la Congrégation  à une mission pauvre de Birmanie, nous écrit le 11 janvier 1998, sœur Agnès.