Maisons et domaines Vialar

 

 

 

LES MAISON D’ALGER

 

·    En avril 1833 Augustin de Vialar est domicilié impasse Salluste n. 22 (Dar-El-Khal ou Maison du vinaigre, prise à bail en 1831 par Cadet de Vaux, commissaire du Roi près de la Municipalité). Feuillets d’El Djezaïr H. Klein.

 

·    En avril 1834, il est domicilié rue du Chêne, n. 8.

 

·    En 1848, l’indicateur général de l’Algérie de Victor Bérard, contient un annuaire qui nous donne les noms des commerçants et artisans d’Alger. Il y a également une rubrique "Propriétaires", et notre auteur ne cite pas moins de 297 Propriétaires vivant à Alger et dans sa banlieue immédiate. Parmi eux, il y a 30 noms à consonance indigène (musulmans et juifs) et 27 noms porteurs de particule. Tous les autres sont des roturiers. On peut même citer les noms et les adresses de ces nobles : Bardout de l’Eure à El Biar, Vicomte Clauzel à l’Agha, Marquis d’Eguille à l’Agua, Comte de Franclieu à El Biar, de Foucher impasse Lalahoum, Baron de Forges à Mustapha, Fortin d’Ivry à Kouba, de Saint-Gilhem rue de Chartres, Baron de Galbois (?), de Gombert,, rue Renaud, Comte Lamerlière rue d’Orléans, Marquis de Latour-Dupin, de Laubepie rue de la Révolution, de Launay à Beni-Messous, Marin de Baccourt à Kouba, de Nivoy à Kouba, Comte de Pina à Kouba, de Rance à l’Hôtel Latour-Dupin, place Royale, Vicomte de Raousset à l’Hôtel de la Régence, Royer de Bracas rue de l’Aigle, de Rubaud à Birmandreis, Sagot de Nantilly (?), et le Baron de Vialar qui réside au Bazar Vialar (!), rue Bab-Azoun. Quand à Maximilien de Tonnac, il n’est plus juge d’Instruction à Blida, depuis la destruction en 1839 de Sidi Tonnac, le château fort qu’il avait construit près de ce qui deviendra Rivet en 1857. Victor Bérard parle également de la grande maison Vialar place Bab-Azoun.

 

·    En 1858 Il vend sa maison du 22 impasse Salluste, comprenant un rez-de-chaussée et un étage, pour y établir le temple de Bélisaire. Elle lui a été achetée 12 100 francs avec en sus une rente annuelle et perpétuelle de 240 francs qui grevait la maison.

 

·    Augustin de Vialar décède, en 1868, rue de Nemours à Alger.