Nos artistes

 

 

 

Jean-Pierre ALAUX (1925-)

 

 

Il fait ses études secondaires chez les Maristes de La Seyne sur Mer (après avoir passé un an chez les Dominicains de Saint-Elme, à Arcachon) avant d’entrer à l’Ecole des Beaux-Arts de Paris où il sera l’élève de jean Dupas de 1943 à 1949. Jean-Pierre gardera toute sa vie le souvenir d’un professeur d’une grande gentillesse qui prodiguait ses conseils en respectant la personnalité de chacun et en parlera toujours avec affection et émotion.

 

A Paris, avant de loger chez son oncle et parrain, Jean-Paul, rue Rennequin, il sera deux ans pensionnaire du 104 rue de Vaugirard, maison d’étudiants des Pères Maristes. Il gagne sa vie en peignant de petites figurines, des couvercles de boite, des fixés sous verre et même une trentaine de scènes de la vie du Christ pour l’Archevêché de Paris.

 

En 1947, il part pour l’Italie à bicyclette avec Frédéric Vidalens, camarade d’atelier. Ils iront jusqu’à Rome, découvriront Florence, Assise, Viterbe, Sienne et Pedro della Francesca, à Arezzo, et passeront une semaine à la Villa Médicis chez Eliane Beaupuy qui venait d’obtenir le Pris de Rome. Vidalens et lui sont restés amis.

 

En 1949, avant de quitter l’Ecole, il obtient le 1er Prix du Concours d’affiches du faubourg Saint-Honoré avec ″Les Fables de La Fontaine″ et une Médaille d’Argent au Salon des Artistes Français. Le 1er Prix des Magasins du Printemps en 1950, avec ″Le Charme de Paris″ et le 2ème Prix du Concours International du Portrait de Jenny (pour lequel une camarade d’atelier a posé) qui lui vaudra de paraître en pleine page de ″Samedi Soir″ embrassé par Arletty.

 

Première exposition personnelle à Paris en 1951 (chez Cardo), où il en présentera six autres entre 1953 et 1990 (Galeries Cardo, Recio, Drouant d’Art de la place Beauvau). Il en fera une à Enghien (Galerie Hénot, 1991). Une à Clairac (Galerie Feille). Deux à Bruxelles (1965 et 1969 chez Brachot). Deux à Fnokke-le-Zoute (1973 et 1981, Galerie Dandoy). Trois aux Etats-Unis : Boston (1960), New York (1963) et New Orléans (1971). Il a exposé à Cannes en 1965 avec Picasso (Galerie 65). A Paris en 1967 avec Jacus, Mathelin et Pierre Henry (Galerie Ror Volmar). En 1971, avec Génisson et Vidalens (Galerie Cardo). A Knokke-le-Zoute, en 1978, avec sa fille Sophie (Galerie Dandoy).

 

Jean-Pierre Alaux présentera régulièrement des toiles dans les Salons dès 1952. Il est, depuis de nombreuses années, Membre du Conseil de la Société Nationale des Beaux-Arts (Il en sera trésorier pendant 14 ans). Membre du Conseil du Salon d’Automne (Il est Président de la section Peinture à l’Eau), Membre du Comité du Salon du Dessin et de la Peinture à l’Eau et est responsable du Groupe Symbolique-Visionirique du Salon Comparaisons. Il expose au Salon de la Marine depuis 1952 et sera nommé Peintre Officiel de la Marine en 1975. Peintre de l’Air et de l’Espace depuis 1993, il expose maintenant au Bourget chaque année.

 

C’est en 1988, après sa rétroactive au Grand Palais (Salon d’Automne) qu’il sera nommé chevalier de la Légion d’honneur (Promotion du 1er avril). Il exposera jusqu’à leur disparition aux Salons Terres Latines et des Peintres Témoins de leur Temps.

 

Jean-Pierre Alaux, Membre du Conseil de l’ADAGP, fut pendant plusieurs années, Membre de la Commission d’Achats de l’Etat dans les Salons. C’est lui qui a permis de conseiller en 1991, au Salon des Indépendants, l’achat d’une toile particulièrement réussie mais qui n’a pas été achetée parce que trop chère pour les finances de l’Etat, et de découvrir en son auteur, Jacques Poirier, un ancien de l’atelier Dupas, perdu de vue depuis trente ans. Heureux de se retrouver, ils se revoient souvent.

 

Entre 1952 et 1962, l’Etat, la ville de Paris et le Musée d’Art Moderne lui achètent plusieurs œuvres. Il peint ″Show boat descendant le Mississipi″ pour le cargo mixte du même nom, en 1959. ″La Mer″, en 1961, pour le carré des officiers supérieurs du porte-avion Foch. Et ″Le Limousin″ pour Le France, en 1962.

 

Il décore en 1961 le chalet de ses amis Tchekoff à Megève avec ses premiers ″Signes du Zodiaque″, et en 1965 l’école maternelle de la rue Boulard à Paris pour son ami l’architecte Marion Tournon Branly.

 

Il expose dans les salons de province, seul comme invité d’honneur (près de 50 villes lui ont décerné un prix ou une médaille) ou en groupe. Il fut président du salon d’Angers en 1989 (le président change chaque année). Il expose aussi au Japon, en Corée, au Liban, en Allemagne, etc.

 

Parmi les nombreux Prix qu’il serait fastidieux d’énumérer, il a reçu en 1955 le Prix de l’Académie des Beaux-Arts ; le Prix Puvis de Chavannes, en 1972 ; le Grand Prix des Peintres Témoins de leur Temps, en 1974 ; le Prix Signatures, en 1979 ; le Prix de l’Orangerie du Château de Versailles, en 1980 ; le Prix Corpel de la Fondation Taylor, en 1990 ; et le Prix de la Peinture de l’Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie, en 1993 pour sa toile ″Planète précieuse, la biosphère″ ; il reçoit en 1973 le Prix de la Ville de Freudenstadt, et en 1979 celui du Maire de Yokohama.

 

On retrouve des œuvres de Jean-Pierre Alaux au Musée d’Art Moderne de la ville de Paris ; au Musée de la Marine à Paris ; aux Musées de Fontainebleau, de Riom, des Baux-de-Provence ; au Musée Rapin de Villeneuve-sur-Lot ; au Musée Denon de Chalon-sur-Saône ; au Musée Deno au Japon. 

 

Il a présenté plusieurs rétrospectives de ses œuvres au Grand Palais en 1973 (Salon de la Nationale des Beaux-Arts) ; au Musée Denon de Chalon-sur-Saône, en 1987 ; à nouveau au Grand Palais en 1987 (Hommage du Salon d’Automne) ; au Musée du Bastion Saint-André à Antibes, en 1987 ; au Crédit Mutuel de Bretagne, à Brest, en 1991 ; et à La Ciotat, sa ville natale, où il exposa 50 ans de peinture à la Chapelle des Pénitents Bleus en 1993, invité par la municipalité.

 

Il a visité l’Iran, l’Egypte, l’Espagne, Prague. A traversé deux fois l’Atlantique (Etats-Unis, Mexique), mais il n’aime les voyages qu’arrivé à destination. Il a donc laissé son épouse préparer ceux de Turquie (deux), de Syrie (Palmyre) et Jordanie (Pétra) qu’ils firent avec des amis peintres. Venise, qu’il aime particulièrement et où il est toujours heureux de se retrouver (chambre II du Bucentaure) lui a donné l’occasion de renouer avec un camarade des Beaux-Arts, Julien Muller. Une ou deux fois par an, il aime passer quelques jours au Cap Ferret où, face à la solitude des plages, il peut rêver en contemplant l’océan.

 

Mais, où qu’il soit, il ne rêve jamais que d’une chose c’est de, comme il le dit, « rentrer à la maison », car c’est là, chez lui, dans son antre, au milieu de ses objets familiers, de ses souvenirs, qu’il se sent le mieux et qu’il pourra terminer toiles, aquarelles ou sculptures. Sphère armillaire, montres solaires, sabliers, canons solaires ou non, objets de marine, crânes et squelettes d’hommes, d’animaux, de poissons ou d’oiseaux, coquillages dont la structure intérieure évoque pour lui un labyrinthe ou Tour de Babel. Ce bricoleur né ne jette jamais rien car il sait qu’il se servira un jour, quelquefois dix ans plus tard d’un morceau de bois, de marbre, de pierre ou de fer.

 

Serviable et disponible au point d’avoir mérité que quelques amis lui donnent le surnom ″d’Allo fret″ ; ses parents lui avaient donné, étant enfant, celui de ″Monsieur d’abord non″. Il le mérite encore quelquefois, mais c’est, dit-il, pour se donner le temps de réfléchir et de ne pas accepter quelque chose trop vite. Il sait ″oublier″ les blessures qui lui ont fait de la peine. Cette indulgence pourrait passer pour de l’indifférence. Il n’en est rien, car si, avec sa modestie, le trait principal de son caractère demeure l’humour, qui peut aller jusqu’à être noir, Jean-Pierre reconnaît toujours les qualités d’un être (ou d’un tableau) avant d’en découvrir les défauts. Il peut aussi quelquefois avoir la dent très dure !

 

Il skie depuis l’âge de huit ans. Très bon skieur, il pratique maintenant ce sport à Andon ou Auron (à 1 ou 2 heures de Cannes), après avoir beaucoup skié à Villard de Lans (enfant), Megève, La Mongie, Tignes et Val-d’Isère.

 

Les vacances annuelles sont l’occasion de donner libre cours aux ″habitudes″ qui, chez les Alaux, ne nient ni l’amour ni l’amitié. Au contraire : le plaisir est toujours le même, chaque année depuis plus de vingt ans, de retrouver ″la petite maison″ du Ponteil chez ses amis Pierre-Henry ; dans les Cévennes, le déjeuner chez les Rodde de Montségur ; et la chambre verte, ″au château″, chez ses amis Zavaro, à Bernières-sur-Mer. Il a appris à naviguer sur le ″Zindbad″, voilier de son oncle Jean-Paul, et fait de la voile à Cannes depuis plus de 30 ans, au mois de juillet. Mais depuis 20 ans seulement, sur son Challenger (voilier de 7,50 mètres), qui, ne calant que 1,20 mètre, lui permet d’aborder à ″pieds secs″ ou presque, au même endroit d’une merveilleuse crique de l’île Sainte Marguerite où il trouve tous les jours, de 8 h30 à 19 h environ, la solitude et le calme dont il a besoin pour sculpter ou peindre à l’aquarelle. Il nage aussi et cherche galets ou bois flottés qui seront peut-être un jour le point de départ d’une sculpture. Le déjeuner rapide est quelquefois partagé avec des amis venus en bateau de Saint-Raphaël, et le dîner souvent réservé aux amis, toujours les mêmes, habitant maintenant le Midi où ils sont là pour l’été : les de Quay, Janet, Giramand, sans oublier la soupe au pistou chez les Jacus ; les congés du 14 juillet que Michelle Morpurgo, sœur de son épouse, vient toujours passer à Cannes ; le dernier dîner chez Jean-Pierre Capron avant le retour vers Paris. Et l’habitude plus récente, d’un déjeuner à Eygalières chez les Jouenne. Pour le passage annuel chez eux, les amis Frossard organisent maintenant un déjeuner devenu traditionnel avec Michel Citry, auxquels se joignent quelquefois les King. La dernière ″habitude″ de l’année est celle du 31 décembre qui réunit depuis près de quinze ans tous les amis des Alaux qui veulent bien leur faire le plaisir de venir commencer avec eux la nouvelle année.

 

Jean-Pierre Alaux a écrit quelques contes philosophiques, confidentiels et sans prétention que nous allons retrouver en cliquant sur l’icône Nos écrits.

 

Chacune de ses toiles rend compte de ses préoccupations, de ses fantasmes par l’intermédiaire de personnages, d’objets souvent symboliques, d’architectures ou de paysages, d’associations d’idées et de formes. Sa peinture, qui depuis l’Ecole a toujours été à contre-courant des modes est difficile à classer. Symboliste, onirique, fantastique, réaliste voire surréaliste. Les allusions poétiques, musicales ou littéraires (visibles ou sous-jacentes) peuvent de mêler à l’humour ou à la fantaisie tout en exprimant tradition et modernité. Esprit curieux, inventif, épris de symboles, de mythes et de métamorphoses, son goût de la beauté sous toutes ses formes, du merveilleux, de la luxuriance baroque, de l’insolite et du sacré ainsi que ses obsessions philosophiques et métaphysiques se rassemblent pour faire se conjuguer dans ses toiles : poésie, mystère et humour. L’imagination fait le reste. Privilégiant toujours le sens plastique à l’anecdote, il traite indifféremment : la figure, et ses portraits deviennent souvent des hommages (Joseph Vernet, P.P. Grasset, Callas, Ader, Maupassant, Dali, Saint-Exupéry ou Chapelain-Midy dont il fit le portrait un an avant sa mort), les architectures avec des portraits de villes (Venise, Imperia, Berlin ou Angers), le paysage ou la nature morte. Rarement absente ″la Femme″ sert de trait d’union entre la vie et la mort souvent évoquée.

 

L’émotion n’est jamais loin lorsqu’on évoque devant lui la mémoire d’amis trop tôt disparus : Lucien Mathelin, Eliane Thiollet, Canjura, Jean Joyet, le dernier en date, tous peintres de talent. Ou qu’il pense aux membres de sa famille qui ne sont plus. Roger Chapelain-Midy, mort en 1992, était un ami très cher. En 1980, il avait choisi Jean-Pierre pour lui succéder au Rotary-club de Paris où ils se retrouvaient tous les mercredis (avec Jean-Michel Desmarquest). Ils refaisaient le monde, ils discutaient sans fin de la vie, de la mort et du temps qui passe, du cosmos, de la place de l’humanité dans la création constatant que plus une chose est belle, indispensable (l’eau, l’air, le feu), plus son côté négatif peut devenir monstrueux. Philosophie et métaphysique, art et peinture étaient l’occasion de discussions sans fin. Ils n’étaient pas toujours d’accord mais chacun d’eux défendait son point de vue avec passion. Rien de plus émouvant pour Jean-Pierre Alaux que la dernière phrase du beau livre de Chapelain-Midy ″Comme le sable entre les doigts″ : « Voici le seuil, le soir et la fin des questions. Etendu sur le sable de la nuit, je regarde le grand ciel d’août, lac de ténèbres semé de signaux dont je cherche en vain le sens. Et cependant, quelque part en moi, brûlante encore, cette braise… ».

 

© J.P. ALAUX, dans ″La dynastie des Alaux″.

 

 

Expositions et rétrospectives

 

 

1949       Premier Prix des Affiches du Faubourg Saint Honoré ″Les Fables de La Fontaine″.

               Médaille d’Argent du Salon des Artistes Français.

1950       Prix des Affiches du Faubourg Saint Honoré et du Printemps ″Hommage à l’Amour″ et ″Le charme de Paris″.

               Premier Prix du Concours International du ″Portrait de Jennie″.

1951       Médaille d’Or du Salon des Artistes Français.

               Première Exposition personnelle à Paris, Galerie Cardo.

1953       Exposition personnelle Galerie Cardo, Paris.

1955       Exposition personnelle Galerie Cardo, Paris.

               Prix de l’Académie des Beaux-Arts.

1956       Exposition personnelle (avec Picasso), Galerie 65, Cannes.

1959       Exposition personnelle Galerie Recio, Paris.

1960       Exposition personnelle Gallery Doll & Richards, Boston.

1963       Exposition personnelle Marble Arch Galleries, New York.

               Grande Médaille d’Argent de la Ville de Paris.

1964       Exposition personnelle Galerie Recio, Paris.

1965       Exposition personnelle Galerie Isy Brachot, Bruxelles.

1968       Exposition personnelle Galerie Drouant, Paris.

1969       Exposition personnelle Galerie Isy Brachot, Bruxelles.

1970       Prix du Mérite Culturel et Artistique.

               Exposition personnelle Bryant Galleries, New Orleans.

1972       Prix Puvis de Chavannes.

1973       Exposition personnelle Galerie Dandoy, Knokke le Zoute, Belgique.

               Rétrospective Grand Palais, Paris (Société Nationale des Beaux-Arts).

1974       Exposition personnelle Galerie Drouant, Paris.

               Grand Prix des Peintres Témoins de leur Temps.

1975       Nommé Peintre Officiel de la Marine (Ministère de la Défense).

1978       Exposition personnelle Galerie Dandoy, Knokke le Zoute, Belgique.

1979       Prix de la Ville de Yokohama.

1980       Grand Prix de l’Orangerie du Château de Versailles.

1981       Exposition personnelle Galerie Dandoy, Knokke le Zoute, Belgique.

               Prix de la Fondation Taylor.

               Exposition personnelle Galerie d’Art de la Place Beauvau, Paris.

1987       Rétrospective, Musée Denon, Chalon-sur-Saône.

               Rétrospective, Grand Palais, Paris (Hommage du Salon d’Automne).

1988       Exposition personnelle Galerie d’Art de la Place Beauvau, Paris.

               Rétrospective, Musée du Bastion Saint-tAndré, Antibes.

               Nommé Chevalier de la Légion d’honneur (Ministère de la Culture).

1989       Président du Salon d’Angers.

               Emission ″Radioscopie″ » de Jacques Chancel : ″Jean-Pierre Alaux et la dynastie des Alaux″.

               Premier Prix, Salon des Echecs, Le Havre.

1990       Prix de la Sculpture, Caen.

1991       Rétrospective, Crédit Mutuel de Bretagne, Brest.

1992       Exposition avec la Dynastie Alaux, Mairie d’Arcachon.

               Exposition avec la Dynastie Alaux, Musée du Gemmail, Tours.

1993       Nommé Peintre de l’Air et de l’Espace (Ministère de la Défense).

               Rétrospective, Mairie de La Ciotat, Chapelle des Pénitents Bleus.

               Prix de l’A.D.E.M.E. (Agence de l’Environnement et de la Maîtrise de l’Energie), Grand Palais.

1997       Rétrospective, Mairie de Chaumont (Marne), Chapelle des Jésuites.

               Rétrospective, Mairie de Lyon.

1999       Grand Prix de Peinture, Mairie du Xe arrondissement, Paris.

               Elu Vice-président des Peintres Officiels de la Marine.

2000       Médaille de Vermeil de la Ville de Paris.

2001       Exposition personnelle Galerie Michelle Boulet, Paris.

2005       Rétrospective à Chamalières (63).

               et Lailly en Val (45).

2006       Exposition personnelle Galerie Michelle Boulet, Paris.

 

Plus de 40 villes de France l’ont fait leur Invité d’Honneur en lui organisant une exposition.

 

Jean-Pierre Alaux a décoré les paquebots France et Mississipi, le porte-avion Foch, l’Ecole Maternelle de la rue Boulard à Paris et réalisé plus de 30 lithographies. Il a illustré

 des livres de bibliophilie, des étiquettes de vin, des pochettes de disques, etc.

 

Il sculpte en taille directe le bois, la pierre, l’os, etc. Il pratique le modelage avec une technique personnelle (sciures de bois et colle vinylique). Bois flotté, branches, ferraille,

fils de cuivre ou de fer, etc. sont souvent le point de départ de sculptures conservées en pièces uniques ou coulées en bronze.

 

On trouve les œuvres de JEAN-PIERRE ALAUX dans plusieurs Musées français. L’Etat et la ville de Paris lui ont acheté une dizaine de toiles. Il figure dans plusieurs Musées

(Musée d’Art Moderne de la ville de Paris, Musée de la Marine, Musée Denon (Chalon-sur-Saône), Musée Rapin à Villeneuve-sur-Lot, etc. et à l’étranger : Musée Sursock à

 Beyrouth et Musée Kueno au Japon, etc.

Ainsi que dans de nombreuses collections particulières : Paris, Londres, New York, Washington, Mexico, Cincinnati, Montréal, Téhéran, Tokyo, Kyoto, Yokohama, Turin,

Hambourg, Sarrebruck, Cannes, Marseille, Rouen, Lille, etc.